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1976

Evolution des arrêts Open in Lightbox
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© Copyright 2018. Transpole - MEL | Mentions Légales

2018

Fin 2018, 7 stations au total seront équipées de nouveaux portillons d’accès. Un dispositif installé par la MEL (Métropole Européenne de Lille) pour lutter contre la fraude, fluidifier et sécuriser le métro. Ont déjà été équipées les stations Gare Lille Europe, Eurotéléport, Tourcoing Centre, République Beaux-Arts et Porte de Douai. Les prochaines à venir : Gare Lille Flandres et Porte des Postes.

©Transpole

2018

Septembre 2018, Transpole lance sa nouvelle application mobile, « Moodi ». Les voyageurs expriment leur ressenti à propos du déplacement qu’ils viennent d’effectuer grâce à des smileys. Ponctualité, propreté, confort… Autant de thématiques sur lesquelles les voyageurs peuvent s’exprimer pour concourir à l’amélioration continue du service de transports.

2018

28 août 2018, la 4G arrive sur la ligne 1, en stations et en tunnel ! Inauguré par Damien Castelain, Président de la MEL (Métropole Européenne de Lille), cet investissement de 10 millions d’euros est soutenu par la MEL dans le cadre de sa stratégie digitale. Confort pour les voyageurs, facilité d’accès aux informations de voyage en temps réel : le métro de Lille se tourne résolument vers la modernité !

©Photothèque de Transpole

2018

Depuis 2014, La Métropole Européenne de Lille applique une tarification sociale des transports en commun basée sur l’âge et le quotient familial, voulue par son Président Damien Castelain. En 2018, la MEL en a élargi l’accès à certaines catégories de personnes défavorisées. Autre évolution positive : la création du ticket unitaire à l’heure qui simplifie les petits déplacements du quotidien.

©Transpole

2017

30 novembre 2017, la station Gare Lille Europe est la toute première à s’équiper de portillons d’accès dans la métropole. Un dispositif installé par la MEL pour lutter contre la fraude et sécuriser le métro. D’ici fin 2020, ce seront toutes les stations des deux lignes de métro qui seront équipées.

©Transpole

2017

187 millions : c’est le nombre de voyages effectués en un an sur l’intégralité du réseau Transpole (métro, tram, bus). Tous les jours, ce sont plus de 730 000 voyageurs qui empruntent les transports en commun de la MEL (Métropole  Européenne de Lille).

©Pascaline Chombart/MEL

2016

Lancée en 2016, l’application Pass Pass Easy Card marque une étape forte dans la digitalisation des transports de la MEL (Métropole Européenne de Lille). Avec la technologie NFC, elle permet de consulter les titres contenus sur la carte Pass Pass. Depuis janvier 2017, une nouvelle version de l’appli permet de recharger sa carte directement depuis un smartphone Androïd : une première en Europe !

© Transpole.

2016

Première mondiale dans le secteur des transports ! Pendant l’Euro de football 2016, Transpole a délivré des bracelets connectés rechargeables pour voyager sur tout le réseau et se rendre à l’un des 10 matchs qui se sont déroulés dans la région. Collectors, ils étaient bien sûr aux couleurs de l’équipe de France, bleu, blanc ou rouge.

©Photothèque de Transpole

2015

Pour désengorger les centres de ville des voitures, les habitants et visiteurs de la MEL (Métropole Européenne de Lille) ont accès à 10 parkings-relais gratuits (ici, celui de Seclin, réalisé en 2015), qui mutualisent places de parking, abris à vélos, bornes de recharge pour véhicules électriques : plus d’excuse, le voyageur laisse son véhicule en périphérie et rejoint le centre-ville en transports en commun, en toute sérénité.

©Photothèque Transpole

2015

En 2015, la gare Lille Flandres vit sa métamorphose. Dans le cadre de ces rénovations majeures, Transpole, SNCF et Citiz ouvrent une agence commune, la boutique Pass Pass, multiservices, pour commercialiser l’ensemble des produits tarifaires et renseigner les voyageurs sur toute l’offre de mobilité disponible dans la MEL (Métropole Européenne de Lille). Tout est fait pour faciliter votre mobilité !

©Mayeux / Transpole

2013

Les quelques 428 bus du réseau Transpole roulent tous au gaz naturel depuis 2013. Un parti pris d’autant plus vertueux qu’une partie de ce gaz est issue de la transformation des déchets verts au Centre de Valorisation Organique (CVO) de Sequedin. Un vrai engagement de la MEL (Métropole Européenne de Lille) pour l’environnement !

©Antoine Repesse / MEL

2013

Le 25 juin 2013, la métropole entre dans l’ère de la billettique “sans contact“, avec la mise en service des cartes Pass Pass sur tout son réseau. Elle est la première métropole française à mettre en place ce système unique et commun à tous les moyens de transports en commun de son territoire (métro, bus, tram, TER, V’lille et voitures en libre-service). Une vraie révolution!

©Antoine Repesse / MEL

2013

Juin 2013, la carte Pass Pass entre en service. Les titres papier, eux, sont voués à disparaître. Pour une transition en douceur, les usagers ont pu échanger leurs anciens tickets jusqu’en décembre 2014.

©Pascaline Chombart / MEL

2013

Janvier 2013, le premier abri à vélos s’installe à Haubourdin. Cinq ans plus tard, ils sont plus de 30 sur tout le territoire de la MEL (Métropole Européenne de Lille), à proximité des arrêts de métro, tram (comme ici à Mouvaux 3 Suisses) et bus ou des gares. Ce service gratuit est une solution idéale pour concilier le vélo et les transports en commun au quotidien.

©Photothèque Transpole

2012

2012, les rames de tramway du constructeur italien Breda font l’objet d’un programme de rénovation intérieure et extérieure, pour garantir la sécurité des voyageurs, améliorer leur confort ainsi que l’ergonomie du poste du conducteur ! Les tramways s’équipent alors d’un système d’annonces sonores et visuelles pour faciliter le parcours des voyageurs.

©Photothèque Transpole

2012

Créé en juillet 2012, le PC Voyageurs fonctionne sur toute l’amplitude de service des transports de la MEL (Métropole Européenne de Lille). Centre névralgique, il informe les voyageurs en temps réel, sur différents médias (écrans, site web, réseaux sociaux…). Avancée majeure dans l’information client, ce PC est un outil unique en son genre.

Le saviez-vous ? C’est depuis le PC Voyageurs que sont enregistrés les points trafic que vous entendez chaque jour dans les stations de métro !

©Transpole

2012

Le 22 juin 2012, Transpole lance la Navette du Vieux-Lille. Un minibus adapté aux rues étroites du Vieux-Lille, qui s’arrête à la demande et peut même déposer le voyageur entre deux arrêts… Avec un passage toutes les 10 minutes, elle facilite les déplacements dans Lille.

©Pascaline Chombart / MEL

2011

16 septembre 2011, le V’lille fait officiellement son entrée ! Un atout supplémentaire pour favoriser la mobilité douce des habitants de la métropole. V’lille, ce sont 8 000 locations de vélos en libre service par jour, pour 223 stations. Comment faisait-on avant pour s’en passer ?

©Pascaline Chombart / MEL

2011

« Sortir ou conduire, plus besoin de choisir ! » Créée en août 2011, la ligne de nuit relie les lieux festifs de Lille aux principales résidences étudiantes de Villeneuve d’Ascq de 0h30 à 5h du matin les jeudis et vendredis soirs, et jusqu’à 6h du matin le samedi. Les fêtards peuvent rentrer sereins !

©Transpole

2011

Depuis le 1er août 2011, les abonnés Transpole 25-64 ans peuvent prendre le train sans surcoût vers toutes les communes de la MEL (Métropole Européenne de Lille) desservies par le TER. Depuis 2013, les abonnés 4-25 ans en bénéficient également ! Un grand pas pour l’intermodalité dans la MEL.

©Photothèque de Transpole

2011

La toute première station V’Lille s’est implantée à la station Marbrerie, en mai 2011. Une première phase d’installation se poursuit ensuite jusqu’en octobre 2011 et la mise en service de 110 stations. En 2018, sept ans après, la Métropole Européenne de Lille (MEL) compte 223 stations V’lille, pour 8000 locations de vélo par jour.

©Transpole

2011

2011, la Corolle est lancée ! Parce que tous les voyageurs n’ont pas nécessairement besoin de passer par Lille, la Corolle dessert les principales villes en périphérie de la capitale des Flandres, sans la traverser. Trajet circulaire, avec départ et arrivée à Villeneuve d’Ascq, la Corolle passe toutes les 20 minutes.

©Vincent Lesigne / MEL

2011

En 2011 s’ouvrait le pôle d’échanges de Don Sainghin, d’autres suivront à La Bassée en 2013 et à Seclin en 2015. Parking relais, gare TER, mais aussi arrêt de bus et abri à vélos se concentrent pour inciter les métropolitains à laisser leur voiture personnelle au parking au profit des transports en commun.

©Mayeux / Transpole

2010

Descendants des poinçonneurs et ancêtres des valideurs sans contact actuels, les composteurs de billets ont disparu des stations et des transports en commun de la MEL (Métropole Européenne de Lille) en 2013. Vous souvenez-vous ? Ces machines réalisaient une encoche dans les tickets et y imprimaient deux informations : la date et un code identifiant l’arrêt ou la ligne de montée.

©Vincent Lecigne/MEL

2009

Design, couleurs, technologies… Les distributeurs de titres du réseau des transports en commun de la métropole ont bien changé depuis les années 1990. Fini de pianoter sur les touches d’un clavier. On achète désormais ses titres sur écran tactile. Interface ergonomique, prise en main intuitive, tout a été pensé pour simplifier la vie des usagers.

©Pascaline Chombart / MEL

2008

Le 25 août 2008, 150 bus et l’ensemble du personnel arrivent au nouveau dépôt de bus de Wattrelos. Ce nouveau site offre un meilleur confort pour les 1500 collaborateurs qui y travaillent et une sécurité renforcée pour les véhicules qui y sont stationnés. Le saviez-vous ? Les bus affectés à ce dépôt réalisent 26,5 millions de km par an !

©Transpole

2008

Les pôles d’échanges multimodaux (ici celui d’Armentières inauguré en 2008) centralisent les différents modes de déplacements des voyageurs (train, bus, métro, car, parc-relais ou vélo…) et offre en un même lieu une offre multimodale performante. Les espaces y sont optimisés pour faciliter les déplacements, les conditions d’attente, d’information et de circulation.

©Max Lerouge/MEL

2008

En janvier 2008, les Lianes apparaissent sur le réseau Transpole, avec la première ligne entre Wambrechies et Faches-Thumesnil. A mi-chemin entre le bus et le tramway, ce sont aujourd’hui 6 lignes à niveau élevé de service qui proposent des passages toutes les 5 à 10 minutes aux heures de pointe.

©Vincent Lecine / MEL

2005

Centre névralgique du réseau, la station Gare Lille Flandres a évolué au fil du temps. Nommée “Gares“ avant la création de la gare Lille Europe, elle est rebaptisée en 1994. En 2005 démarre un chantier de rénovation de la station pour répondre à l’augmentation constante du trafic. Résultat après 2 ans de travaux : des accès facilités, de nouveaux services, plus d’espace et de lumière pour un plus grand confort.

©Laurent Mayeux / Transpole.

2003

À Lille en septembre 2003 apparaît la première Citadine. A l’origine, la ligne est une navette de cœur de ville, desservant trois parking-relais à proximité. Aujourd’hui, Lille, Tourcoing, Roubaix, Halluin, Armentières et Wattrelos ont chacune leur ligne Citadine, une ligne aux passages fréquents, pour tous les déplacements de proximité.

©max Lerouge / MEL

2002

Au fil des ans, les titres de transport ont bien évolué ! Le principe, lui, reste de permettre à tous les habitants de la MEL (Métropole Européenne de Lille) de circuler à des tarifs adaptés à leur situation et à la fréquence de leur déplacement. Le saviez-vous ? Le voyageur ne paie qu’un tiers du coût réel du service de transports, les deux tiers restants étant financés par la MEL (Métropole Européenne de Lille).

2000

Lille Métropole Communauté Urbaine (LMCU) œuvre également pour la démocratisation de l’art dans le métro ! Le 27 octobre 2000, station Gare Lille Europe : la fresque murale de Jean Pattou est dévoilée. Véritable défi artistique, la fresque de 2300 m2 est réalisée en un an. Nourri par ses voyages, l’artiste propose une œuvre ouverte sur le monde, où villes et capitales défilent sous nos yeux.

©Phototèque de la MEL

2000

Le 27 octobre 2000, le dernier tronçon de la ligne 2 du métro entre Tourcoing Centre et CH Dron est inauguré en présence du Premier Ministre, Lionel Jospin. Dès le lendemain, les habitants peuvent emprunter la totalité de la ligne 2, qui détient alors le record de la plus longue ligne de France (32 km et 44 stations).

©Photothèque de la MEL

1998

En 1998, le premier bus au Gaz Naturel pour Véhicules (GNV) débarque sur les routes lilloises. Quatre années de tests ont été nécessaires pour mettre au point cette technologie, qui traduit la volonté de la Métropole de s’orienter vers les énergies vertes et durables pour lutter contre la pollution.
Le saviez-vous ? Aujourd’hui 100% des bus du réseau Transpole circulent au GNV !

©Archives de la MEL

1996

Depuis 1996, le service Handipole permet aux personnes à mobilité réduite ne pouvant utiliser les transports en commun de se déplacer avec autonomie. Grâce également à la présence d’ascenseurs dans toutes les stations de métro et tram, des dispositifs sonores, des écrans d’information voyageurs embarqués, des planchers bas dans les bus, la MEL (Métropole Européenne de Lille) offre un service de transport accessible pour tous.

©Photothèque de Transpole

1995

Juillet 1995, des ouvriers terminent d’excaver le tunnel reliant les futures stations Croix Centre et Croix Mairie de la ligne 2 du métro. La construction de cette ligne fut un chantier de longue haleine : commencée en 1985 (ex-ligne 1bis), la ligne fut prolongée à quatre reprises entre 1993 et 2000.

©Archives de la MEL

1994

Le 2 mai 1994, la TCC (Transports en Commun de la Communauté Urbaine De Lille) change de nom et devient Transpole, mot-valise né de la fusion des termes “transport“ et “métropole“. Filiale du groupe Keolis, l’entreprise gère toujours le réseau des transports urbains lillois dans le cadre d’une Concession de Service Public confiée par la Métropole Européenne de Lille.

©Transpole

1994

En 1994, le constructeur italien Breda Costruzioni Ferroviarie livrait à la Communauté Urbaine De Lille 24 nouvelles rames de tramway à plancher bas, dites rames Breda. De grande capacité (200 personnes), plus longues, plus larges et plus rapides, elles ont remplacé les rames Düwag et circulent encore sur la ligne Lille-Roubaix/Tourcoing. Depuis leur mise en service, elles ont été rénovées à mi-vie pour garantir confort et sécurité aux voyageurs.

©Archives de la MEL

1994

1994 est une année de transition pour le réseau des transports en commun de la MEL (Métropole Européenne de Lille). Le matériel roulant évolue : si des bus aux couleurs de la TCC continuent de circuler dans les rues, les premières rames Breda, revêtant déjà les couleurs de Transpole, font leur apparition sur la ligne de tramway Lille-Roubaix/Tourcoing.

©Archives de la MEL

1991

Baptisés bus accordéons par les amoureux de poésie, les premiers bus articulés font leur apparition dans la métropole en 1991. Constitués de plusieurs parties rigides reliées entre elles par un axe de pivotement, leur capacité leur permet de transporter plus de passagers que les bus standards, ce qui est bien utile aux heures de pointe.

©Archvies de la MEL

1989

Connu pour ses compressions de voiture et ses pouces monumentaux, le sculpteur César (1921-1998) a réalisé un bronze, La Main. Impressionnante, elle encercle une des colonnes de la station de métro Porte de Valenciennes. En invitant un tel artiste à embellir le métro, la Communauté Urbaine De Lille poursuit un objectif : rendre la culture accessible à tous.

©Max Lerouge / MEL.

1989

Le 1er janvier 1989, la COTRALI et la COMELI fusionnent en une société anonyme, la TCC, chargée de la gestion du réseau de transports en commun de la Communauté Urbaine De Lille. Cinq ans plus tard, la TCC devient Transpole.

©Transpole

1984

Dès 1984, dix mois après sa mise en service, la ligne 1 du métro enregistre son 10 millionième voyageur. Le métro attire une nouvelle clientèle : près d’un tiers des trajets sont effectués par des personnes qui n’utilisaient pas les transports en commun auparavant.

©Archives de la MEL

1984

Encouragée par le succès de la ligne 1 du métro, inaugurée un an auparavant, la Communauté Urbaine De Lille adopte le tracé définitif de la ligne 1 bis du métro (en rouge sur le plan) entre St Philibert et Gare Lille Flandres, après analyse de divers plans d’étude comme celui-ci, en 1984. Les travaux de gros œuvre commencent en 1985. La ligne est ouverte au public en 1989 et deviendra la ligne 2.

©Archives de la MEL

1983

Sensibiliser les citoyens à l’art, tel est l’objectif de la Communauté Urbaine De Lille ! En 1983, Brigitte Denoyelle-Burie réalise une mosaïque
pour la station Villeneuve d’Ascq – Hôtel de Ville. Son œuvre se compose
d’une base en terre cuite habillée d’émaux et de tesselles en inox. Lorsque le soleil frappe les émaux, les couleurs vives de la mosaïque illuminent la station.

©Vincent Lecigne MEL

1983

Le 25 avril 1983, le président de la République, François Mitterrand, inaugure, aux côtés d’Arthur Notebart, Président de la Communauté Urbaine De Lille et de Pierre Mauroy, Maire de Lille, la ligne 1 du métro, première ligne au monde à être entièrement automatisée. Avec une fréquence de passage de 66 secondes, le métro de Lille bat encore aujourd’hui tous les records mondiaux !

©Archives de la MEL

1981

16 juin 1981 : Arthur Notebart, président de la Communauté Urbaine De Lille (au centre), assiste à l’arrivée du tunnel du métro à la station Wazemmes. Ses 300 derniers mètres ont été creusés grâce à une nouvelle machine, baptisée Sophie, permettant de maximiser la sécurité des ouvriers tout en assurant une meilleure exécution des travaux.

©Archives de la MEL

1980

1980 : la construction de la station de métro République Beaux-Arts démarre. Son architecte, Gilles Neveux, a conçu un accès monumental à cette station souterraine, construite sous la place de la République : un amphithéâtre en creux, pouvant accueillir des manifestations publiques et donnant sur un vaste hall éclairé par la lumière naturelle grâce à des verrières.

©Archives de la MEL

1980

1980 : la métropole est en plein chantier ! Entre Hellemmes et Lezennes, des ouvriers construisent une tranchée couverte destinée à accueillir la galerie de circulation de la future ligne 1 du métro. Moins complexe et onéreuse qu’un percement de tunnel, cette technique a été utilisée dans les communes où le métro circule à faible profondeur.

©Archives de la MEL

1979

1979 : le Poste Central de Contrôle (PCC) de la ligne 1 du métro, situé aux 4 Cantons, à Villeneuve d’Ascq, est intégralement construit et équipé. Disposant d’écrans de télévision rattachés à un réseau de 250 caméras de surveillance, son personnel régule la circulation des rames selon le trafic et remédie à distance aux perturbations et incidents.

©Archives de la MEL

1979

En 1979 est créée la Compagnie du métro de Lille (COMELI), dont la mission est de préparer la future exploitation du métro et d’organiser la maintenance de ses équipements. Elle exploitera concrètement le métro de sa mise en service, en 1983, à sa fusion avec les autres compagnies de transport en commun lilloises au sein de la TCC, en 1989.

©Archives de la MEL

1978

En 1978, la Communauté Urbaine De Lille entreprend une politique tarifaire unique, en demandant aux deux compagnies exploitant les bus et les tramways, la CGIT et la SNELRT, de vendre, au même prix, des tickets utilisables sur leurs deux réseaux. En 1982, les deux compagnies fusionnent et deviennent la COTRALI.

©Archives de la MEL.

1978

Pour préserver le centre-ville de Lille, la Communauté Urbaine De Lille choisit de rendre entièrement souterraine la partie centrale de la ligne 1 du métro. Pour creuser la voûte du tunnel, les ouvriers utilisent un blaireau, machine qui attaque le terrain à la fraise rotative et dépose simultanément les gravats dans un dumper.

©Archives de la MEL

1976

Certains éléments du paysage urbain restent immuables (ici, arrêt de bus Grand’Place à Lille en 1976). Depuis 50 ans, le design de ce mobilier a évolué pour améliorer l’expérience des voyageurs : meilleure protection contre les intempéries, nouveaux espaces d’affichages, écrans d’informations en temps réel, et des bancs pour une attente plus confortable.

©Archives de la MEL

1976

En 50 ans, les arrêts de bus et de tramway ont bien évolué ! Sur cette photo de 1976, les voyageurs qui attendent leur bus peuvent en vérifier les horaires sur les panneaux d’affichages. Aujourd’hui, l’information en temps réel, grâce aux écrans, permet aux voyageurs d’évaluer en un coup d’œil leur temps d’attente.

©Archives de la MEL

1975

Le mois de juin 1975 marque la fin des essais du deuxième prototype de véhicule automatique léger (VAL), inventé par le Pr Gabillard, pour équiper la future ligne 1 du métro. Les tests auront duré un an, au cours duquel le prototype aura parcouru près de 30 000 km dans le quartier de Triolo à Villeneuve d’Ascq.

©Archives de la MEL

1974

Homme politique engagé et Maire de Lomme de 1947 à 1990, Arthur Notebart est à l’origine en 1974 de la mise en chantier du métro de Lille, le premier métro automatique léger au monde. Il jouera un rôle majeur dans ce projet. En 2017, la station “Lomme-Lambersart“ est renommée en son honneur “Lomme-Lambersart Arthur Notebart“.

©Archives de la MEL

1970

Robert Gabillard (à droite en manteau gris), chercheur et universitaire, est l’inventeur en 1970 du VAL (Véhicule Automatique Léger) : un métro automatique, sans conducteur, réversible, petit, léger, rapide et accessible à tous. Son invention révolutionnera durablement la mobilité des métropolitains !

©Archives de la MEL

1968

Inaugurée en 1909, la ligne de tramway Lille-Roubaix/Tourcoing est la dernière rescapée d’un vaste réseau qui desservait la métropole, notamment la Grand-Place de Roubaix, jusqu’aux années 1960. Le tramway était surnommé le Mongy, en hommage à son concepteur, Alfred Mongy. Les rames du constructeur allemand Düwag ont circulé sur la ligne jusqu’en 1994, avant d’être remplacées par les rames Breda, toujours en service aujourd’hui.

©Archives de la MEL